Vision 20-20 pour la Meute culturelle de Lafontaine et ses projets

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C’est le 21 avril dernier que La Meute culturelle de Lafontaine tenait sa planification stratégique. Vision 20-20 avait pour but de planifier au delà du Festival du loup 2016 tout en incluant l’importance des projets du Musée vivant et des Contes. On retrouve Chérifa Heinz, Charlotte Bédard, André Beausoleil, Nadine Lalonde, Marc Lalonde, Ginette Pelletier, Joëlle Roy, Paulette Gagnon, animatrice, Mikaela Lefaive, Patricia Pommet, Martin Lalonde et Michel Paiement via Skype. Absentes de la photo: Sylvia Bernard et Suzanne Roy.

Joëlle Roy

Le jeudi 21 avril dernier, une douzaine d’apôtres culturels se rassemblaient pour imaginer les projets de la Meute d’ici 2020. La session était animée par une routière d’expérience dans l’univers franco-ontarien. Madame Paulette Gagnon coordonne présentement un méga projet de centre artistique à Sudbury. C’est donc sous sa baguette magique que le flot d’idées s’est enligné dans un plan qui rassemble les trois axes de la Meute : le Festival, le Musée ainsi que les Contes de Lafontaine.

Il y a plus d’idées que le temps et les moyens nous permettent de réaliser mais après le ménage qui s’impose, les activités choisies s’entrecroiseront et se complémenteront plus harmonieusement que si nous y allions à la pièce. Pour vous donner quelques exemples du travail qui n’est pas complété, nous visons à ce que le volet «conte» devienne une activité en soit d’ici quelques années. Pour ce faire, il serait intéressant que nous commencions à outiller nos conteurs à écrire et livrer leurs histoires.

Quant au Musée, tel qu’évoqué par le comité qui s’est rassemblé récemment, il ne semble pas y avoir aucun doute à ce que le projet continue dans l’élan initié l’automne dernier. C’est-à-dire, inviter les élèves à partager ce savoir patrimonial tout en offrant un volet pour la communauté.

Le Festival peut sembler l’aspect le plus facile à imaginer puisqu’il va plutôt bien. Oui et non. Il serait tentant de nous asseoir sur nos lauriers mais le défi est de garder une fraîcheur à l’événement qui ramène ce qui plaît tout en continuant à se renouveler.

Il nous reste à compléter un exercice des plus importants qui consistent à prioriser nos valeurs; en autres mots, pour qui existons-nous. La réponse peut sembler évidente mais elle ne l’est pas devant des bailleurs de fonds qui nous incitent à devenir une machine touristique et une école d’immersion…

On vous tient au courant puisque vous êtes pas mal concernés. Le rapport final sera bien sûr rendu public.